Valérie

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il y a 7 ans

Valérie

Bonjour tout le monde, je m'appelle Valérie et j'habite Toulouse. J'ai 18 ans et j'ai commencé ma petite vie en appartement, toute seule en septembre (J'ai commencé mes études de droit).

Voici donc mon histoire que j'ai aujourd'hui décidé de raconter. Depuis septembre, je franchi tous les pas d'une DL, jusqu'à aujourd'hui ou j'ai enfin décidé de sortir habillée d'une TENA Slip Maxi pour faire mon marché.

J'ai tout le temps vécu avec ma mère et ma petite s?ur. Mon père nous ayant quitté quand ma s?ur n'avait qu'un an. J'avais 5 ans quand ma s?ur est née et je n'étais pas encore tout à fait propre de jour comme de nuit. J'ai mis des couches pour aller à l'école jusqu'à mes 9 ans et la nuit jusqu'à mes 10. C'est ma mère, très tolérante qui me changeait. Et pour tout vous dire, je faisais exprès de me mouiller. J'ai donc adoré me faire changer par ma mère jusqu'à cette âge. J'avais une copie à l'école qui elle aussi faisait pipi, mais juste au lit, sauf qu'elle ne le faisait pas exprès. D'ailleurs, elle a continué jusqu'à ces 14 ans. Donc, les couches m'ont un peu manquée, mais un petit incident à l'école m'on fait arrêter, les autres élèves s'étant moqué un jour ou j'avais un peu trop fait et que la fuite mouilla mon pantalon. La maitresse, peu délicate m'a alors déshabillé devant tout le monde et j'ai du traverser la moitié de l'école en pampers bien mouillée pour me faire changer à l'infirmerie.

J'ai donc, depuis ce moment, toujours aimé porter des couches. Vers 16 ans, alors que ma tante et mon oncles vinrent nous rendre visite avec ma petite cousine qui avait 3 ans et faisait encore pipi au lit, je piquai une pampers baby dry. Comme je ne suis pas très grande, elle m'allait juste. Je passais la nuit avec et fit même pipi dedans involontairement. Je cachais la couche et le dit à ma mère. Je descendis à la cuisine. Tout le monde prenait son petit déjeuner. Ma tante pris le sac à langer de ma cousine et me demanda si je voulais une couche tout en souriant. A sa grande surprise, je la pris en souriant et alla dans ma chambre pour la mettre. Je descendis comme ca, juste habillée d'un t shirt et de ma pampers ce qui provoqua l'hilarité générale, y compris de moi. A la fin du petit déjeuner, je montais m'habiller, mais je gardais quand même ma couche. Je profitais pour descendre la couche mouillée, en disant à tout le monde que je l'avais enlevée parce que j'avais fait pipi dedans.

De nouveau, hilarité générale. Personne ne remarqua que je portais toujours une couche.

Depuis cette épisode, je n'eu plus l'occasion de remettre des couches, mais j'y pensais en permanence.

Lorsque je suis arrivée à Toulouse, dans mon appartement, la première chose à laquelle j'ai pensé, c'est de pouvoir m'acheter des couches. C'est alors, que j'ai appris qu'il y avait d'autres gens comme moi quand j'ai alors pu surfer sur internet sans être surprise par ma mère. J'ai donc cherché par mots clefs comme "couches", "bébé" et je suis tombée sur le site d'ABKingdom.

Sur les pages jaunes, je cherchais des magasins à Toulouse qui vendaient des produits pour incontinence. Il y en avait quelques un. Maintenant, il fallait prendre son courage à deux mains, mais j'en avais tellement envie...

Je choisi donc un magasin, et décida d'y aller pour faire une reconnaissance. En rentrant dans le magasin, je m'aperçu que je ne savais pas quelles couches acheter et surtout, quoi dire. Il y avait un couple de personnes âgées devant moi. Une jeune vendeuse vint alors me voir pour me demander ce que je voulais. Je balbutiais, devins rouge, mais après tout,...

Je lui dis donc que j'avais besoin de couche. Elle me demanda alors si j'avais une idée du produit que je voulais. Je lui répondis que non. Elle commença alors à me demander si c'était pour le jour ou la nuit. Je m'empressais de dire pour la nuit. Elle me présenta alors les différents types de changes complets. Elle me demanda alors la taille, si s'était pour moi. Je dis non sans honte, mais je ne voulais pas non plus me tromper dans l'achat d'une taille trop grande. Qu'elle honte. La vendeuse ne devait pas avoir plus de 22 ans et je venais de lui avouer que je faisais encore pipi au lit (ce qui était faux évidemment). Elle me proposa donc avec un léger sourire, les tena slip maxi en taille S. Elle hésita longtemps avec les XS ( je n'ai toujours pas grandi depuis mes 16 ans et les pampers baby dry taille 6 me vont toujours). Ce que je n'avais pas prévu, c'est un sac pour le porter. Elle me demanda donc si j'en voulais un. Volontiers... Je payais et sortis, le c?ur à 160. Une fois sortis, j'avais l'impression que tout le monde pouvait voir mon paquet de couches à travers le grand sac qui n'était pas si discret que ca. Je marchais donc vite, la tête baissée, avec une seul hâte, arriver chez moi.

Une fois chez moi, je ne pus m'empêcher d'ouvrir avec un certains battement de c?ur mn premier paquet de couches. J'en sorti une pour la regarder, la sentir. Je me déshabillais et essaya de m'en mettre une. Pas facile de faire ca toute seule. Après tout, c'est ma mère qui me changeait mes couches jusqu'à mes 10 ans. Elle m'allait à merveille. Ce délicieux crissement, ces fesses rembourrait.

J'enfilais un boxer short par dessus et remis mon pantalon. c'était déjà un peu plus dur à refermer, mais je voulais voir comment ca faisait d'avoir une couche sous ses vêtements. Je me regardais longuement dans la glace. On pouvait voir une petite bosse sur les fesses, mais fallait le savoir. A l'entrejambe, on l'apercevait un peu plus a cause du pli du à l'épaisseur. Quand au bruit, on l'entendait encore un peu, et ca me rappelait vraiment ms couches d'e n f a n c e. Je restais donc toute l'après-midi ainsi habillé, a consulter les différents sites sur les AB/DL. En fait, je crois que je me situe entre les deux. Après une petite demi-heure de surf, une petite envie de faire pipi me vint. Il faut dire que j'avais exprès bu pas mal de thé. Je me concentrais et laissa couler ce liquide chaud. C'était interminable. Quel bonheur. Cela faisait tellement de temps que j'attendais ca. Evidemment, avec ma mauvaise expérience avec les pampers de ma cousine, j'eu en permanence l'impression qu'il y avait une fuite.

Je passais donc ma main sur mon pantalon, sur mes fesses, mais rien. Par contre je sentais que mon pantalon était un peu plus serré car la couche avait beaucoup gonflée. D'ailleurs, on le voyait bien à l'entrejambe et sur les fesses, là où mon pipi s'était réparti. Un vrai bonheur. J'enlevais mon pantalon et mon boxer pour admirer ma couche mouillée. Elle était devenue toute jaune. Je décidais de me changer et je m'aperçu que je n'avais rien pour m'essuyer. Je veux parler des lingettes pour bébé. Je me décidais donc a enlever ma couche, prendre une douche et d'aller au Leclerc du coin. Il ne devait pas y avoir beaucoup de monde à cette heure là.

Au Leclerc, je me dirigerais vers le coin pour bébé qui proposait non seulement des couches pour bébé, mais aussi des couches pour adulte (des tena orlys). Je frissonnais en regardant avec insistance et en souriant. Je le fut également en voyant tous les paquets de couches pour bébé. J'hésitais là encore à m'acheter en plus, un paquet de couche pour bébé; ils sont beaucoup plus mignons que ceux pour adultes. Je les regardais tous et j'optais pour un paquet de huggies pull-ups pour fille. J'en profitais pour acheter du talc, de la creme pour bébé des lingettes pampers et,... quelques petits pots de bébé pour que ca ne soit pas louche. La caissière a du trouver ca bizarre qu'a mon jeune âge, j'achète des couches pour un bébé un peu plus grand, mais bon,...

De retour chez moi, je sautais sur le paquet de huggies, l'ouvrit et en sortit une pull ups très mignone, rose, avec des petit dessin de princesse dessus. Je me déshabillai et l'essaya. Un peu juste, mais pil poil. Je m'observais dans la glace... Que c'est mignon.. En plus, le crissement est encore plus flagrant. Je continuais donc ma journée comme ça, en pull ups, jusqu'à mon envie de faire pipi et le test qui a mon avis allez être un peu plus négatif qu'avec les TENA. Je laisse couler (comme je peux, car une fois parti je ne sais plus m'arrêter).

Evidemment, la couche fuya et le pipi commençait à couler le long de mes jambes.

Un vrai bonheur.

Ca fait donc un peu plus d'un mois que je me lange dès que je reviens à la maison de mes pull-ups et de mes tena pour une bonne uit bien humide. Depuis, j'ai un peu compléter mon équipement. J'ai acheté des biberons, des sucettes, une alèse pour protéger mon lit (car parfois, je ne met pas de couches et je me laisse aller en pleine nuit) etc...

La semaine dernière, j'ai décidé de franchir donc un nouveau pas et d'assumer complètement mon plaisir pour les couches. Le week-end dernier, j'étais chez ma mère. Je ne lui ai rien dit, mais je n'avais pas amenée de couches. Elle me manquait déjà dans le train, vendredi soir. Arrivée à la gare, il y avait encore 40 bonnes minutes à faire en voiture. Quand on est parti, une très forte envie de faire pipi me vint. Comme je n'avais plus l'habitude de me retenir, je le fis savoir à ma mère, tout en me retenant aussi longtemps que je pouvais. Quand je vis la pancarte indiquant qu'il restait encore 30 bons km, je me dis que ca ne serait plus possible. Je laissais donc tout sortir, inondant le siège de la voiture. Ma mère me regarda en rigolant. Ce que je fis aussi. J'en profitais pour lui faire croire que depuis une semaine, j'avais fait 3 fois pipi au lit et une dizaine de fois dans ma culotte. Elle me dit donc que ca devait être le stress de la fac. Je confirmais, tout en pensant que c'était peut-être le bon plan pour lui faire admettre mes couches. Ce week-end là, je fis les deux nuits pipi au lit volontairement et samedi, en revenant des courses, je fis pipi dans ma culotte devant la porte d'entrée. Lorsque je pris le train le dimanche soir, ma mère m'apporta dans la chambre une couche droite que ma soeur qui avait un petit problème d'incontinence légère à 13 ans mettait sans ses petites culottes.

Elle ressemblait beaucoup à de grosses serviettes type vania maxi, mais en plus grand. Je la collais au fond de ma culotte. La sensation n'était pas très différente du vania maxi, si ce n'est l'épaisseur.

Je fus très contente de retrouver mes couches en rentrant. Le prochain week-end que je passerai à la maison, je les amène.

Toute la semaine, je me suis donc demandée si je devais en mettre également pour sortir. Ce matin, je l'ai fait. J'ai enfilé une tena maxi, j'ai mis un pantalon pas trop moulant, mais assez léger. On pouvait donc voir que je portais une couche si on faisait un petit peu attention. Pas grave, j'ai dis que j'assumais, donc j'assume. Quand je suis sorti, j'avais l'impression que tout le monde me regardait. Dehors, on entend moins le crissement du plastique à cause du bruit ambiant, mais j'avais l'impression de l'entendre. Je fis donc mon marché comme ça. Je m'arrêtais même à un petit bistro pour prendre un café. En le buvant, je me laissais allez d'un pipi assez conséquent qui fit bien gonfler la couche.

Maintenant, elle gonflait un peu plus mon pantalon et on pouvait vraiment voir que j'en portais une. En plus, l'entrejambe avait un peu grossi. A un stand de fromage, j'attendais mon tour. Devant moi, une petite fille d'environ 6 ans et dont le visage était au niveau de mes fesses dit à sa mère, tout fort :

  • regarde maman, la madame elle a une couche comme pour les bébés.

Sa mère se retourna et me regarda en souriant, me demandant de bien vouloir l'excuser. J'étais rouge de honte. Je lui répondis que j'avais l'habitude...

Voilà. Mon prochain défit est de porter des couches à la fac. Pour ca, je pense acheter des couches quand même un peu plus discrète ou plus pratique comme des pull-ups ou des tena FLEX, plus facile à mettre toute seul dans les toilettes de la FAC.

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